La popularité de l'IA pour le soutien émotionnel, en particulier dans le cas du chatbot Claude, est exagérée. Une étude montre que seulement 2,9 % des utilisateurs ont recherché une assistance émotionnelle, la majorité utilisant l'IA pour la productivité et la création de contenu. Une fraction minimale s'engage dans des conversations affectueuses.